Dans mon livre Restez Jeunes, j’ai décrit les sentiments noirs et les sentiments rouges, comme les sentiments rosés et les sentiments bleus, termes que j’ai choisis pour expliquer d’une part la haine, la colère, l’envie, la jalousie, la tristesse, l’inquiétude, qui créent un terrain favorable à toutes les misères ; par contre, les sentiments positifs (rosés ou bleus) favorisent la vitalité, la jeunesse, la longévité. Je ne crains pas de vous le répéter, surtout choisissez vos amis parmi les optimistes, les gais, les calmes, les doux, les ordonnés, les équilibrés. Si vous habitez hors de Paris, ayez un chien ; le chien est gai, optimiste, bienveillant ; quelle que soit votre humeur, il vient vous solliciter pour jouer ; il vous apporte une balle pour que vous la lui lanciez ; il jappe bruyamment, si vous ne prenez pas garde à ses désirs. À votre préoccupation, il oppose une gaîté folle, il témoigne de l’indifférence à tous vos soucis. Si vous ne répondez pas à son exubérance, si vous le chassez ou le grondez brutalement, il se jette sur un coussin, le met en pièces, il aboie plus bruyamment encore. Cette joie exaltante finit par faire disparaître vos idées les plus noires. Je ne parle pas du chien de Paris, car il n’est pas gai. La vie sédentaire, casanière, les promenades de propreté l’intoxiquent lentement ; il vieillit et meurt bien avant l’âge normal. Le Parisien qui aime les chiens doit émigrer vers la banlieue ; il doit, s’il le peut, s’en procurer plusieurs pour les voir jouer ensemble. La fréquentation des enfants est encore une habitude excellente en faveur de l’optimiste. Observez-les à la sortie d’une école ou pendant la récréation. Les hommes, les enfants, les animaux, constituent l’ambiance morale susceptible de créer autour de vous la joie, la gaîté, l’entrain, la belle humeur. Mais vous devez tenir compte aussi de l’ambiance physique. Que le soleil boude, que la pluie tombe, que le temps soit brumeux, humide, cette ambiance climatérique amène la mauvaise humeur. (À suivre...)
► COMMENT ME SOUTENIR ? Comme vous pouvez le constater, aucune publicité sur mes vidéos, aussi J’AI BESOIN DE VOTRE SOUTIEN. Devenez contributeur Tipeee, faites un don à partir de 1 € 💰https://fr.tipeee.com/ludovicbeuzeron Ayons d’ailleurs confiance que les choses s’arrangent d’elles- mêmes. Les idées de bon sens propres au peuple français font naître un beau jour un SURHOMME qui semble surgir de terre et qui paraît sauver le pays. Le surhomme inattendu est mis au monde par “l’Inconscient collectif du pays”. Au point de vue social, économique, tout s’arrange ou on s’arrange de tout, finalement on s’aperçoit que le pessimisme n’était pas justifié. N’avez-vous pas remarqué que, malgré la crise économique, de nouveaux avions rapprochent les diverses nations, de nouveaux films sont toujours tournés plus beaux et plus artistiques, des immeubles neufs et innombrables sortent de terre. La tenue du peuple français est bien celle qui correspond à l’espoir, à la confiance. Seules ses paroles sont inquiétantes. Il lui suffirait de se taire et de ne pas parler de la crise pour qu’elle cesse. La crise de confiance que nous éprouvons est une suggestion négative. Elle cessera quand vous consentirez à ne plus parler de vos inquiétudes. Les pessimistes ne sont pas seulement moralement malheureux, ils sont aussi malades physiquement ou se préparent à le devenir. L’optimiste crée dans son organisme un bon terrain pour lutter contre la maladie. Depuis ces dernières années, j’ai remarqué un accroissement des cancers. Certes, si les malades allaient voir plus tôt le chirurgien, le cancer serait vite supprimé ; mais les pessimistes sont hésitants, douteurs, ils savent si rarement prendre une décision qu’ils laissent le mal faire des progrès. Par suite d’une sorte de cercle vicieux, le pessimiste crée la tristesse, et la tristesse favorise toutes les maladies, notamment le cancer. (À suivre...)
► COMMENT ME SOUTENIR ? Comme vous pouvez le constater, aucune publicité sur mes vidéos, aussi J’AI BESOIN DE VOTRE SOUTIEN. Devenez contributeur Tipeee, faites un don à partir de 1 € 💰https://fr.tipeee.com/ludovicbeuzeron Pour cela, il faut obéir à quelques préceptes que je vais énumérer : 1. Choisissez votre milieu. “Dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu seras.” Pour devenir optimiste, il faut tenir loin de soi les individus sceptiques, douteurs, inquiets, anxieux, les envieux, les jaloux, les pessimistes et les geignards. Vous allez peut-être dire que nous ne pouvons pas “laisser tomber” nos amis, nos camarades, cesser nos relations sociales avec Pierre, Paul ou Jacques. Je vous demande simplement de ne pas vous lier avec ceux dont le caractère et le tempérament ne peuvent convenir aux vôtres. Ne recherchez pas l’amitié de ceux qui doivent créer autour de vous une atmosphère difficile ou pénible. Pour ne pas avoir de surprise désagréable, entraînez-vous à connaître le caractère, les tendances, les instincts de vos semblables. Sachez acquérir l’habitude de connaître, à leur insu, leur inconscient, c’est-à-dire leur âme, leur esprit, leur vrai moi. Un bon moyen de ne pas vous ennuyer en société et de vous distraire toujours, sans gêner personne, c’est de chercher à connaître le tempérament et le caractère des autres d’après les marques extérieures, qui révèlent à qui veut bien l’apprendre, les détails internes de l’organisme et les modalités de chaque individu. Vous y parvenez en observant la physionomie, la face, la forme du crâne, le timbre, la modulation de la voix, les caractères de l’écriture et tous les gestes qui constituent le comportement de la personnalité. 2. L’OPTIMISTE est l’homme qui voit tout en beau. Le PESSIMISTE celui qui voit tout en mal. La bonne humeur fait partie du caractère de l’optimiste, comme la mauvaise humeur fait partie de la nature du pessimiste. À l’optimiste appartiennent la joie, l’entrain, l’enthousiasme ; pour lui ressembler vous devez vous entraîner à l’estime de vous- même, au sens social, à la solidarité, à la courtoisie, à l’esprit d’équipe. À l’optimiste appartiennent la foi, l’espérance et l’amour. L’optimiste est naturellement bon, bienveillant, philanthrope, accueillant, serviable ; non seulement il est heureux en lui-même, mais aussi il sème le bonheur partout où il passe. À l’optimiste, vous savez qu’il faut opposer le pessimiste avec sa mauvaise humeur et ses succédanés : l’angoisse, l’inquiétude, la neurasthénie, la dépression, la tristesse, le regret, les remords, le doute, l’hésitation. (À suivre...)
► COMMENT ME SOUTENIR ? Comme vous pouvez le constater, aucune publicité sur mes vidéos, aussi J’AI BESOIN DE VOTRE SOUTIEN. Devenez contributeur Tipeee, faites un don à partir de 1 € 💰https://fr.tipeee.com/ludovicbeuzeron Pendant l’entracte, le hasard me mit en face d’un des collaborateurs de Grock, dont j’avais opéré la femme : “Venez, me dit-il, je vous présenterai au grand clown”.
Ce dernier était déjà grimé, prêt à faire son numéro. “Je ne connais pas votre faciès naturel, lui dis-je, mais je vous félicite de l’action sociale que vous exercez en amusant les enfants et les adultes.” “Mon rôle est bien difficile, me répondit-il ; depuis 2 ans, je regarde la physionomie de la foule ; une grande partie des spectateurs que je viens amuser, conserve l’air figé ; il me faut quelquefois 20 minutes, une demi-heure, pour les dégeler et provoquer chez eux le sourire. Si cela continue, où irons-nous ? Pas un Français ne sera capable de rire...” Je quittai Grock et retournai à ma place. Je songeais alors : mes compatriotes sauront tous rire quand l’atmosphère économique et sociale sera gaie ; il serait intéressant de leur montrer qu’il est possible d’être heureux et de bonne humeur quand l’atmosphère nationale est nuageuse. Il faut s’entraîner à l’optimisme et à la bonne humeur comme les acrobates s’exercent à jongler, à faire des pirouettes et des grimaces. Certes, je ne conseillerai pas à celui qui souffre de douleurs violentes de paraître joyeux; ce n’est pas au sujet atteint d’une névralgie ou d’une attaque de goutte aiguë qu’il faut conseiller de rire. En principe, il faut avoir une bonne santé pour exprimer la joie de vivre. Mais si la gaîté ne s’obtient pas spontanément, et pendant les jours sombres, il faut s’éduquer pour l’obtenir ; c’est le point que je voudrais développer ici. Un des dimanches de janvier, mes enfants me disent : “Nous voudrions aller au Cirque d’Hiver, voir Grock”. Je connaissais la réputation de ce clown remarquable qui, avec les Fratellini, a manifesté au monde le génie du rire. J’admire ces hommes qui, indépendamment de leurs qualités musicales variées, de leur sens acrobatique et artistique si complet, possèdent le don d’attirer la foule. Indépendamment des comiques, tous les artistes du cirque m’intéressent au point de vue physiologique et psychologique. Les acrobates sont des sujets bien portants et gais : ils ont toujours le sourire. Dans leurs tours, ils expriment le calme et la confiance ; ils représentent, pour moi, au point de vue physique et psychique, le succès de l’éducation. Ils exécutent souvent en haut du cirque des exercices sans filet, ce qui prouve qu’ils ont une confiance absolue dans leur équilibre. Regardant ces êtres à la face joviale et au corps de bel animal, je pensais que peu de temps auparavant, ils ne savaient exécuter aucun des exercices auxquels j’applaudissais ; ils étaient peut-être alors tristes, faibles ou peu adroits ; or, actuellement, après quelques années d’entraînement, ils exécutent sans effort, avec aisance, les exercices les plus difficiles. Quel travail continu cela représente ! Quelle force de résistance morale pour ne pas subir les découragements suggérés par les parents, les amis et les collègues ! Quelle patience, quelle persévérance, quelle énergie ces personnages ont dû mettre en œuvre, pour arriver à la perfection que je constatais ! Les efforts physiques qui ne sont pas plus difficiles à réaliser que les performances morales, l’esprit humain devrait les déployer pour conquérir santé, succès et bonheur. Chez les acrobates du cirque, j’admirais la force, la souplesse, l’élégance, la gaîté, la santé, la vitalité et je faisais cette réflexion : que tous les êtres humains présents, comme moi, au cirque, pour se distraire, pourraient acquérir par l’entraînement ou quelques capacités d’acrobates, ou toutes les qualités morales souhaitables : calme, douceur, amour du travail, bonté, bienveillance, gaîté, bonne humeur. Si les hommes consentaient à se soumettre à un entraînement quotidien, physique ou psychique, l’humanité se trouverait, de ce fait, heureuse et transformée. (À suivre...) ► COMMENT ME SOUTENIR ? Devenez contributeur Tipeee, faites un don à partir de 1 €
💰https://fr.tipeee.com/ludovicbeuzeron "Le vrai but de la vie est la production du bien et la Création énergique de votre personnalité." JOUFFROY L’optimiste est accueilli partout avec joie. Dès qu’il paraît, les visages s’éclairent. Il semble qu’il apporte avec lui la lumière, le soleil, le bonheur ! Il y a tant d’âmes désemparées et inquiètes, tant d’âmes qui n’ont pas en elles l’énergie nécessaire pour s’engager sur la bonne route ! L’inquiétude ou le doute, voilà malheureusement le lot de la plupart des êtres humains évolués et “sensibilisés”. Surtout en ces heures de trouble et de crise où nous assistons à tant de ruines, à tant de désastres, il semble à bien des personnes habituées à la vie moderne et facile que tout soit perdu. Elles avaient en elles déjà, en dehors de leurs richesses envolées, des ressources infinies de bonheur et de joie. Elles les ont dédaignées pour s’habituer à une vie douillette et sensuelle. Rien n’est perdu lorsqu’on possède l’énergie et la santé Ces sujets éprouvés ne se sont pas dit : “Je réalise mon but ; désormais, je ne veux être ni pressé, ni préoccupé. Tout s’arrangera ou je m’arrangerai de tout. Je n’exige pas que les choses s’adaptent à moi, ce sera moi qui m’adapterai à toute chose”. La plupart des humains déçus n’avaient jamais songé que les biens de ce monde étaient périssables et que ceux de l’âme étaient éternels. Ils ont laissé dépérir en eux les forces morales, et le désastre les a trouvés anéantis, incapables d’effort. De là, cette attitude d’esprit qui croit à la ruine totale, quand c’est seulement l’appauvrissement monétaire qui s’est produit. Ceux-là, l’état anxieux, le doute, la neurasthénie, le cafard et la dépression les gagnent et les paralysent. Eh bien ! c’est à ceux-là que l’optimiste doit montrer que rien n’est perdu lorsqu’on possède comme lui – quant à présent – l’énergie et la santé. C’est grâce à ces 2 trésors qu’il est possible de reprendre la lutte. Oui, c’est à ceux-là que l’optimiste doit révéler le secret du courage, c’est à eux qu’il doit conseiller de regarder avec confiance l’avenir. “Tout est possible. Rien n’est perdu.” (à suivre...) ► COMMENT ME SOUTENIR ? Devenez contributeur Tipeee, faites un don à partir de 1 €
💰https://fr.tipeee.com/ludovicbeuzeron L’optimisme, la bonne humeur, la joie de vivre doivent constituer votre état d’âme permanent. Ces sentiments si l’âme est saine et la santé normale, doivent persister en vous surtout pendant les périodes critiques, – en temps de crise –, à l’heure où les humains se lamentent sur la dureté de l’existence. Il est indispensable, à l’époque où nous vivons, d’appeler à soi tout ce que vous possédez d’optimisme et de courage. Il faut se dire que si vous ne pouvez souvent agir contre les circonstances, vous pouvez faire quelque chose sur vous-mêmes. Mais comment être optimiste, me direz-vous, quand tout va mal ? Eh bien ! justement, avoir l’attitude optimiste, à la manière où nous l’entendons, c’est être arrivé à un état d’esprit positif, toujours prêt à la résistance, prêt à voir ce qu’il y a de bon dans les pires conjonctures, à accueillir les événements avec le dessein d’en tirer le meilleur parti possible. Vous n’arriverez pas d’emblée à acquérir un tel état d’esprit. Mais vous savez bien qu’avec de la volonté, de la patience et de l’énergie, vous arrivez à tout. Vous savez quelle force contient l’habitude. À l’origine de toute habitude se trouve un acte de volonté consciente. Il faut donc, pour votre propre bonheur, vouloir remplacer en vous une habitude malfaisante par une autre bienfaisante. Le pessimiste qui n’a pas perdu toute volonté peut donc arriver à l’optimisme par l’habitude volontaire, et se créer une manière d’être qui deviendra une bonne habitude. II voyait les choses, les hommes, les événements d’un œil triste. Il s’attachera désormais à les regarder avec plus de sérénité et d’indulgence ; à découvrir en eux le germe créateur qu’ils apportent. Il lui faudra, au début, faire un grand effort, mais chacun sait que rien ne se crée sans énergie. Demandez à ceux qui ont construit une œuvre quelconque, dans n’importe quel domaine – art, lettres, sciences, industrie, commerce –, demandez-leur comment ils ont pu la réaliser : l’effort continu, persistant, tenace et quotidien est à l’origine de leur travail. La plus belle œuvre que l’on puisse demander à l’homme, c’est de faire effort pour se réaliser tel qu’il se conçoit, c’est de devenir ce qu’il est en puissance, d’exprimer son vrai moi. Pour cela il est nécessaire de laisser se taire en soi les tendances négatives : paresse, tristesse, jalousie, envie, colère, haine, doute, angoisse, peur ; il faut déblayer le terrain de ces mauvaises herbes pour n’y semer que du bon grain. La vertu de l’optimisme c’est de travailler constamment à cette réalisation positive. Il apporte avec lui la foi, la confiance, l’espérance, c’est-à-dire la jeunesse, la joie, l’élan, l’enthousiasme. La foi incite à se passionner pour ce qui est beau, juste et grand, pour tout ce qui est désiré; elle éveille en vous les saines énergies et vous fait apparaître un monde de clarté que vous ne soupçonniez pas. Veillez toujours à ce que votre âme n’oscille pas entre le doute, le regret et la crainte. Ce sont là les ennemis de votre repos. Le regret est déprimant et stérile. La crainte paralyse vos efforts. Ce sont des sentiments parasites qu’il faut chasser. Vous devez toujours aller de l’avant, brancher votre esprit sur le courant d’énergie universelle, augmenter chaque jour en vous votre pouvoir d’action. La lutte est quotidienne, constante. Chaque matin l’homme doit se lever avec une nouvelle provision de vaillance, d’allégresse, de bonne humeur. Il doit reprendre avec ardeur le combat incessant, avec la persuasion que le triomphe est au bout. Les personnes auxquelles nous conseillons de faire la rééducation de la volonté et d’organiser leur vie physique et mentale, disent quelque fois : “il serait si bon de se laisser vivre” ! Eh bien ! ce regret n’est pas justifié, car, en réalité, celui qui se laisse vivre se laisse mourir. L’homme qui ne lutte pas pour la vie, se laisse envahir par la maladie, les infirmités. Nos premiers ancêtres, qui ont paru sur terre, eurent à lutter. C’était alors l’époque des cavernes et des habitations lacustres, où les hommes étaient forcés de se maintenir sur des pilotis, pour échapper à leurs ennemis ; ou bien ils se cachaient dans les cavernes, pour se tenir à l’abri des animaux carnassiers ; ils étaient obligés à entretenir un grand feu devant l’entrée de leurs repaires. Quand les événements évoluèrent, c’est contre leurs ennemis qu’ils luttèrent. Par conséquent l’homme a toujours lutté. Donc du premier jour où l’être humain vient au monde, il doit être prêt à la lutte, et la continuer toute la vie. Par conséquent, quand je parle d’optimisme à acquérir, ce n’est pas de cet optimisme béat qui consiste à ne rien faire, à attendre que les événements passent, et à accepter la fainéantise, la sédentarité, l’inaction. En réalité, pour être heureux, pour être optimiste, il faut lutter sans cesse. Il faut lutter pour se bien porter, lutter pour avoir de l’ordre, de la méthode, pour se lever à temps, se coucher à temps. Il faut faire effort pour se conquérir, conquérir les événements et les choses : succès, santé, bonheur. Tout devient facile à qui veut que ce soit facile, à qui prend l’habitude de se dire devant chaque difficulté nouvelle : “Ce n’est rien. Tout ce que je veux doit arriver”. En cet homme qui pense ainsi, toutes les forces accourent au premier appel. Il s’aperçoit bientôt que mille ressources sont en lui et qu’il n’a qu’à les utiliser. À chaque effort, à chaque idée dynamique il doit associer l’Autosuggestion. (Je me lève à 7 heures, je fais mes exercices fortifiants. Je m’exerce pendant 20 minutes. Dans ces actes physiques, j’emploie toute mon énergie et toute ma puissance de perfectionnement). Ne dites jamais : “Je commencerai lundi, ou demain matin” ; commencez à réaliser tout de suite, à l’instant même, toute idée génératrice d’action utile ; entretenez sans cesse cette pensée : “Je ne suis jamais pressé ni préoccupé, je suis sûr d’atteindre le but que je me propose”. Chaque matin, établissez un programme de journée en 5 minutes. Tous les soirs soumettez-vous à l’examen de contrôle, à titre de vérification. N’oubliez jamais qu’à celui qui sourit, le destin ne demande qu’à sourire. N’oubliez jamais que vous retrouverez toujours en dehors de vous-même ce que vous portez en vous. Si c’est la peur et la haine que vous cultivez, autour de vous s’exprimeront, se manifesteront la peur et la haine : celle-là sous forme d’angoisse et d’inquiétude, celle-ci sous forme d’envie, de jalousie ou de colère. À ceux qui n’ont que des idées saines et des sentiments élevés, douceur, calme, bienveillance, répondront la sympathie, le dévouement et la gratitude. Celui qui porte en lui la beauté et l’amour, les verra partout se développer et fleurir. Il pourra conduire sa vie dans un jardin ensoleillé. Inspiré de l'oeuvre du Docteur Victor Pauchet ► COMMENT ME SOUTENIR ? Devenez contributeur Tipeee, faites un don à partir de 1 €
💰https://fr.tipeee.com/ludovicbeuzeron Un professeur a amené des ballons à l’école et a demandé aux enfants de les gonfler. Et que chacun écrive son nom sur un ballon. Ils ont jeté tous les ballons dans le couloir et le professeur les a mélangés d’un bout à l’autre. Ensuite le professeur leur a donné 5 minutes pour trouver le ballon avec leur nom dessus. Les enfant allaient dans tous les sens, regardant frénétiquement, mais quand le temps a été écoulé, personne n’avait trouvé son propre ballon. Ensuite le professeur leur a donné 5 minutes pour trouver le ballon avec leur nom dessus. Les enfant allaient dans tous les sens, regardant frénétiquement, mais quand le temps a été écoulé, personne n’avait trouvé son propre ballon. Puis le professeur leur a dit de prendre le ballon le plus proche d’eux et de le donner à la personne dont le nom est écrit dessus. En moins de 2 minutes chacun avait son propre ballon. À la fin, après que les élèves aient pu s’exprimer sur ce qu’ils apprenaient de cette expérience, le professeur a dit ceci: « Les ballons sont comme le bonheur. Personne ne le trouvera s’il cherche le sien seulement. Au lieu de cela, si tout le monde se soucie les uns des autres, chacun trouvera son propre bonheur plus aisément. » *Auteur anonyme* ► COMMENT ME SOUTENIR ?
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